J'explore avec la photographie : la mode, l'onirisme, et l'entrevue des deux. 

De ce croisement naissent de nouveaux récits : tel que les ballets punks qui interrogent la candeur des ballets classiques,

ma réinterprétation féministe du Lac des cygnes :  C'est Odile qui vient venger Odette,

et les chimères d'ombres escortées de leurs onirismes gothiques révélant le monde sensible dans le monde matériel. 

Tous droits réservés [2023] © Kenza Mekiri  


démarche

Une fois la nuit tombée, je pars à la quête de surface, je pars à la quête de grain, 

pour y rencontrer mes ombres, mes chimères, qui n'attendent que d'être révélés.

D'un monde matériel j'accède à un monde sensible, que je qualifie d'onirisme-gothique.                

En passant d'un monde tangible à un monde perceptible, j'explore le passage du matériel au corps éthéré. 

Je m'approprie l'espace urbain, et fais expérience d'un processus créatif dans ce dernier.

Transformant un espace ordinaire en un terrain d'expérimentation artistique. 

Je travaille littéralement avec la lumière pour révéler la part d'ombre : 

équipé de lampes torches pour réaliser, entre autres, des contre-jours dans l'obscurité. 

Sculpter, structurer l’image, main dans la main avec l’ombre, notre plus fidèle complice. 

Cette dernière pouvant nous rappeler qu’un monde occulte qui n'attend que d'être révélé existe en parallèle d’un monde matériel.

sélection 


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